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Cocorico ! Les ordinateurs ont pour promoteur les machines à calculer et l’une des premières, l’une des plus influentes dans l’histoire fut créée par le français Blaise Pascal entre 1642 et 1645. Cette machine que l’on finit par téléphoner clairement la Pascaline, comptait entre 5 et dix roues crantées, marquant les unités, dizaines, , plusieurs milliers, dizaines de milliers. Mieux, en utilisant des roues à 12 crans bien loin de 10, la Pascaline permettait de compter en base 12 ( qui était très employée au XVIIe siècle ). Pascal aurait réalise une vingtaine d’exemplaires de son pc, dont quelques voyagent encore dans des musées.Lors de l’allumage d’un ordinateur par exemple, ce dernier exécute toutes sortent d’opérations et d’instructions. Ensuite il récolte une grande quantité d’informations essentielles à son bourgeonnement. Il faut savor que dans un ordinateur le traitement d’information ne s’arrête en aucun cas. Il étude sans cesse les données qui lui arrivent et les traites aussitôt. L’intelligence et la imprévu de il ont eu une évolution rapide depuis sa naissance. A cette période il était spécialisé a de grand scientifique, car son bon usage été très difficile, et de nos jours tous est habilité l’utiliser et de l’exploiter. Mais de quelle manière l’ordinateur a-t-il finalement réussi à prendre une part si exponentielle dans notre quotidien ? Comment il a-t-il été créé ? Dans quelle condition ? Et surtout de quelle manière fonctionne-t-il ? Au cours de ce billet, nous allons vous rendre sur de répondre à ces arguments en nous comparant le plus près possible des versions originales de l’histoire de la création des ordinateurs.Depuis des plusieurs milliers d’années, l’homme a conçu et employé des outils l’aidant à évaluer. Les plus immémoriaux connus sont sans doute les ossements d’Ishango. Au départ, la plupart des sociétés ont recours à probablement la main ( d’où le système décimal ), ainsi que d’autres zones du corps, dans la mesure où auxiliaires de estimation. Puis apparaissent les entailles dans du bois, les entassements de cailloux, de fruits de mer ou d’osselets ( il est intéressant de noter que le terme « estimation » rayonne du mot voile latine, calculi qui signifie « galets » ). Le 1er exemple d’outil plus complexe est l’abaque, qui sait diverses formes, jusqu’au compteur en général utilisé en Chine et en Russie.Il est comprise que la 1ère calculatrice a été réalisée en 1623 par Wilhelm Schickard ( 1592-1635 ) prof d’astronomie et de mathématiques à l’université de Heidelberg. Ce dispositif fidèle « Horloge à calcul » exécute instantanément les additions et les soustractions, et quasiment automatiquement les multiplications et les subdivision. Blaise Pascal, utricule Schickard qu’il ne savait probablement pas, réalise en 1642, à l’age de 19 ans une machine évidemment identique. Cette présentation d’une machine algorithme ayant été attestée par des observateurs dignes de toupet, Pascal est fréquemment crédité de la création de la minicalculatrice, la Pascaline, en 1642. Sa machine effectue les 4 procédés arithmétiques sans appliquer l’intelligence humaine, mais multiplications et arrondissement sont effectuées par répétitions.En 1951 est lancé le 1er poste informatique commercialisé, l’UNIVAC sujets cette fois-ci « plus » que 35, 5m2 et usité notamment aux entreprises. Il donne l’opportunité de réaliser des actions de comptabilité, et à présent de traitement de texte, chaque caractère qui sont similaire à un code produit en binaire. Cet poste informatique est le 1er étant totalement robotisé, ne appelant plus l’intervention d’une déduction humaine pour réaliser chaque étape de ses activités. Il permettait par ailleurs de réaliser 555 multiplications ou bien 8333 additions à la 2ème. 56 exemplaires seulement furent vendus parce du prix exorbitant de 750000$ de l’ordinateur et de 185000$ pour son son télétype. Vous l’aurez compris, seules les plus grosses firmes pouvaient se le procurer.«Nous pourrons pourvoir nos habitations avec de l’énergie que nous produirons nous par la marche, le footing, le tourisme, via la chaleur libre par nos ordinateurs et même grâce au agissement de l’eau dans nos canalisations», explique IBM. La recherche actuelle montre en effet à repérer un procédé pour récupérer cette énergie gaspillée, de la entreposer dans des batteries, et l’utiliser pour alimenter des appareils électroniques. Dans quelques temps, chacun d’entre nous pourrait à ce titre viser lui un petit appareil qui récupérera l’énergie produite par un tour en vélo, et réassortir alors les batteries de son téléphone sans prise électrique.



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