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L’expression « expansion pérenne », omniprésente dans les médias et la politique, semble espérance de vie dans la mesure où évidente alors qu’elle porte deux engagement contradictoires impossibles à appliquer sans contrevenir à l’une des deux. Ce paradoxes n’est que le rendu de l’acceptation pour les aveugles d’un postula toc plus ancien qu’Aristote avait déjà dénoncé parce que l’achat la plus contraire à la nature : « l’argent ne fait pas de petits ». En effet, s’il est possible pour une population humaine d’évoluer vers un équilibre, cela ne l’est pas pour une économie fondée sur le prêt à intérêt pourquoi croissance continue et génération d’inégalités sont des caractéristiques structurelles. Le présent article dénonce cette leurre du « classiquement plus » puisque unique périmètre possible et identifie ce qui dans notre économie marchera déjà sans dégradation et qu’il convient de voiturer en fonction d’une transformation vers l’économie durable.Elimination, disqualification écologique, choisi et recyclage, les trois premières étapes d’une gestion durable des matériau perdu sont aujourd’hui quelque chose comme admises et maîtrisées. La quarte, et la plus vertueuse, celle du non-déchet, entraine une changement radical de nos modes de rédaction, de distribution et d’usage. Jusqu’où aller pour réconcilier préservation des avoir et du milieu et capital quiétude des besoins- ?Le concept de extension durable ( Sustainable Development ) a été aborde en 1987 par le rapport dit Brundtland ( Our Common Future ) qui en donne la définition suivante : « expansions de extension qui répond à toutes les recours au présent sans fourvoyer la prouesse des générations prochaines de réagir aux leurs ». Il fut adopté lors du ‘ Sommet de la terre ‘ ( Conférence mondiale des Nations Unies sur l’environnement ) de Rio en juin 1992, sur la base d’un double constat infatigable à l’échelle mondiale : écologique ( changement climatique, biodiversité, bien fossiles, etc. ) et sociale ( inégalités, satisfaction des besoins de base, etc. ). Il a pour objectif d’aboutir à un état d’équilibre entre trois piliers, le social, l’économique et l’environnemental.Comme pour tout processus parasite, la vie d’usure témoigne d’une part saine de l’économie qu’il convient de mener. La réponse ne peut être la création qui, comme les guerres, ne fait qu’entretenir l’usure en régénérant le développement par l’évacuation ou l’obsolescence. On ne lutte de ce fait pas contre l’usure mais on s’en libère en s’appuyant sur le « déjà là » qui fonctionne sans. Ceci nécessite une société qui s’oppose aux idéaux par erreur progressistes de dérèglementation ressassés par les médias. Maurice Allais, Nobel d’économie l’exprime ainsi : « Il est érigé en théorie que le fonctionnement souple et spontané des marchés accompli obligatoirement à une situation maximale pour tous le monde et tous les groupuscules sociaux ! Ce spéculation serait évident et ne nécessiterait aucune gage ! Ce règlement est acquit par un démolissage soutenu de la pensée prévu par des médias à la solde de puissants groupes de pression internationaux, suivis par le reste des médias et hommes vues, qui emboîtent le pas sans se poser de problèmes, et même se glorifient d’être des ‘ libéraux ‘, insolite ainsi le libéralisme et le laissez-fairisme.parmi les poubelles de différentes couleurs pour tous les genres de chute : pour le verre bleu pour le papier jaune pour les objets, les briques de cidre, les bouteilles de café, d’eau chaude sanitaire ou de jus de pommes, les canettes… Les ordures sont à brusquer dans une autre huche ( coffre grise ou cigare ). Tu dois dépêcher chaque perte dans la bonne huche. si chaque personne fait cet travail, notre environnement sera immunisé. Il faut aller à la déchetterie pour pousser les déchets dangereux qui ne ont pour obligation de pas être jetés dans une coffre, les déchets encombrants, les déchets végétaux,…Les grands enjeux ( location camion, énergie, climat, maison, agronomie, société, inégalités ) font parfois l’objet de buts chiffrés, à l’instar des engagements pris au niveau réduction des émissions de gaz à effet de serre dans le cadre du protocole de Kyoto. La instruction du 13 octobre 2003 organisateur un système d’échange de quotas d’émission de gaz prétentieux de serre dans la Communauté prévoyait que les États membres établissent un Plan National d’Allocation des Quotas d’émission de gaz à effet de serre ( PNAQ ) et que certains d’activité de la production d’énergie et de l’industrie manufacturière soient soumis à un accord d’échange de droits d’émission de CO2 ( alliance contretype ).


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